Qui suis-je?Je m'appelle Julien, j'ai 33 ans depuis le 17 mai dernier. Je suis originaire de la région de Charleroi, où je vis à nouveau depuis 6 ans après avoir pas mal bougé pendant une dizaine d'années (Mons, La Louvière, Châlons en Champagne, etc).
Point du vue boulot, j'ai créé il y a un peu plus d'un an ma société de prestations de services, et j'ai pour principal client le groupe Circus. Je m'occupe des news sur leur site internet, je travaille sur la programmation des tournois, je participe aux diverses organisations d'événements pour eux (BPS, Wasop, PBT, etc), j'organise les différents voyages, et plein d'autres petites choses trop longues à énumérer.Mes surnoms: il y en a plein. Toutes la confrérie des contractions de Julien, Ju, Jules, Juju, Djoul, JB, Julius, Giuliano....
Ensuite tout ce qui est issu du surnom que l'on m'a donné jadis à l'université (que je n'ai pas terminée). Marcelbecari.
Pourquoi ce surnom?
2 étapes.
Tout d'abord Becari... Pas compliqué. Un jour quelqu'un a écrit mon nom avec une écriture patte de mouche sur un écrit mural, le T est devenu un I, et cela a donné Becquari, ou contracté... Becari. A partir de là, tout le monde m'appelle Becari.
Ensuite, trésorier de l'Association des Etudiants, j'avais la tendance à faire chier prodigieusement les gens pour qu'ils paient une cotisation. Une fille récalcitrante un jour m'a répondu super violemment, ce qui a amené une troisième personne à lui demander la raison de son courroux à mon encontre. Elle sortit alors la super phrase: "Becari m'harcèle"... immédiatement relevée et transformée en M'harcèle Becari ou Marcelbecari.
Ce qui a amené à de nouveaux surnoms tels Marcel, Mars, Marcelus, Marceluske (merci Hans), etc...
Enfin, mon cher JPDB a toujours eu tendance à me trouver rustre. On se demande pourquoi d'ailleurs, moi qui suis si doux... hum.
Je suis donc devenu "Le rustre". Manque de pot, ce même JPDB décidera un peu plus tard d'anglaiser ce nouveau surnom pour créer "The Ruster"...
Ce qu'il ne savait pas, c'est que the ruster en anglais ça voulait dire: "la rouille".
Voilà donc comment est né Marcelbecari The Ruster.
Mes études et passionsJ'ai fait un passage à l'Université de Mons (Warocqué), où j'ai beaucoup...guindaillé.
Après avoir loupé ma seconde candi, et plutôt que d'accepter un passage conditionnel en première licence, j'ai tiré un trait sur les études, n'étant pas passionné plus que ça sur le sujet.
J'ai joué aux échecs (2150 Elo au mieux de ma forme), au tennis (B0 au mieux de ma forme), au basket à l'Essor de Charleroi (trop petit pour continuer)... J'ai aussi pas mal skié (décrochant - quand j'étais ado - une flèche d'or lors d'un slalom géant, et un chamois de vermeille lors d'un slalom spécial - pour la flèche d'or, j'ai fait un meilleur temps que l'ouvreur)... Ah que c'était bien d'être jeune et svelte (soupir).
Ma situation familialeMarié depuis le 24 juin 2006 à Magali. J'ai toujours dit à tout le monde avoir épousé la meilleure femme du monde, et le redirai à chaque fois que l'occasion m'en sera donnée. Pour assumer un loustic dans mon genre qui laisse tomber son boulot pour développer un truc en qui personne ne croyait dans le monde du poker, il fallait du courage. Parfois je me sens seul quand j'entends ou vois les autres dirent que leurs femmes vont râler, ou qu'ils n'auront pas le son pendant trois jours, parce qu'ils sont rentrés trop tard... Mais bon, je ne vais pas m'en plaindre non plus. Les gosses, ben ils sont au programme depuis un petit temps déjà. Mais souvent reportés pour un tas de bonnes raisons... Néanmoins, cet aspect-là de ma vie ne devrait plus rester vide bien longtemps. Sinon, nous avons deux chiens sympas... La plus âgée c'est mon chien personnel à moi, elle s'appelle Chaussette, super golden retriever de 5 ans qui adore mordre les mollets d'Hanswawa quand elle le voit... (sans-doute a-t-elle faim). La seconde, c'est la fifille à sa maman... Virgule de son doux prénom (Rantanplan de son surnom), à cause d'une tâche modèle Nike qu'elle avait sur son front à la naissance et qui a aujourd'hui...complètement disparu.
Voici donc mon monde peuplé de trois femelles que j'adore.
Ma rencontre avec notre cher pokerUn pur hasard. J'avais bien joué récréativement au poker fermé une dizaine d'année plus tôt, mais sans réellement avoir le coup de foudre.
Puis, lors d'une soirée passée à mon club de tennis de l'époque, j'ai regardé Greg Raimer remporter le Main Event des WSOP 2004 (la diffusion était en été 2005 je crois).
La rencontre fusionnelle venait de se produire.
Compétiteur dans l'âme, le poker était la discipline que je cherchais depuis toujours.
Le rêve américain à la portée de n'importe qui... La possibilité de défier les meilleurs et surtout de les battre.
Un jeu où la stratégie est ultra présente, et dont la chance permet à n'importe qui de briller sur le court terme.
Depuis le poker occupe une grande partie de ma vie.
Objectifs au poker:Sur le plan humain, le poker m'a apporté beaucoup de richesses. En effet que vous soyez psychiatre reconnu, avocat d'affaires, mécanicien soudeur, ou chômeur longue durée, vous parlez tous la même langue, et êtes fans de la même passion. Et fréquenter avec plaisir toutes ces classes sociales sans s'en soucier, fréquenter des hommes, des femmes (y en a pas assez), des noirs, des blancs, des jaunes, des russes, des célébrités et même des remoucastriens... ça n'a pas de prix. Le poker est universel et tant mieux.
Donc, sur le plan humain, continuer à prendre du plaisir avec les gens et apprendre à connaître de nouvelles personnes.
Sur le plan professionnel, améliorer sans cesse mes compétences, histoire de pouvoir continuer longtemps mon boulot qui me plait.
Sur le plan sportif... Gagner un jour un bracelet WSOP me plairait bien. C'est élevé comme challenge, mais qui n'essaie rien n'a rien.