Reportage WP au PPT à Cannes 2008

:shock:


130 kilométres, c'est rien ... fallait accepter.

Marcel montre déjà ses talents d'écrivain à suspens...

Après une intro aguicheuse, il tient le public en haleine!

Citation :

Après une intro aguicheuse, il tient le public en haleine!

héhéhé... C'est le but...

alllez on veux la suite

la suite la suite la suite la suite la suite

Tu le sort quand ton bouquin je pourrais le commander pour mon

annif

Au vu de la liste des personnalités annoncées, j'allais être vraiment gâté...

Il fallait néanmoins faire honneur à l'accréditation presse reçue en étant le plus professionnel possible, et surtout éviter de se faire remarquer parmi la horde de pro du journalisme annoncée.

Aussi, je pris calmement le temps au matin d'expliquer à ma femme qu'il était hors de question qu'elle saute sur Patrick Bruel, si d'aventure nous le croisions dans un couloir... (étape très importante du processus).

Nous sommes donc partis de Saint Trop vers 11H du matin à destination de Cannes. Au préalable, j'avais pris le soin de me raser... (trop rare que pour ne pas être souligné).

Dans mes bagages, mon bon vieil appareil photo, un PC portable, quelques stylos, un carnet de notes, une chemise de rechange, ma secrétaire du jour (ma chère et tendre),...

J'avoue que j'étais assez stressé à l'idée de me retrouver là-bas.

Arrivée à Cannes vers 13H00 après un embouteillage à n'en plus finir sur l'autoroute de Provence. Pour info, je croyais que les conducteurs français dont la plaque minéralogique se terminait par un 59 (Nord Pas de Calais), était les pires conducteurs du monde... Je m'étais trompé. Les 13 (Marseille) et 83 (Var) sont tout simplement infâmes sur la route... A croire que le soleil leur a plus souvent qu'à leur tour chauffé le képi (expression locale).

Si les difficultés routières n'ont en rien arrangé mon stress, la possession de l'adresse du Casino Barrière à la place de celle du Partouche n'a fait que l'accentuer...

Nous étions à peine arrivés que je devais déjà changer de chemise.



Après 3/4 d'heure de palabres sur la côte cannoise, qui m'a fait voir par accident le palais des festivals, nous avons enfin trouvé le casino Partouche. Mon rendez-vous ne m'avait pas attendu...



Beurk... Je déteste l'amateurisme. Et je nage dedans... Ma seconde chemise commence à en ressentir les conséquences...

Nous arpentons donc les marches du Casino, sur lesquelles étaient déroulées pour l'occasion le tapis rouge.




Je n'ai pas résisté à l'envie de faire une photo d'une des marches et de leur tapis rouge, qui étaient toutes "griffées" Partouche Poker tour.

Toute l'entrée était décorée d'immenses posters à l'effigie des joueurs vainqueurs des super sattelites. Notamment cette dernière à représentant le célèbre Moumouth Eric Koscas de la team Winamax:



Bon cette fois, je rentre vraiment dans le vif du sujet et nous entrons dans la capitale européenne du poker...du moins pour ce jour là.




mais comme j'adore entretenir le suspens...

(à suivre).

trop de suspens tue le suspens...on a même plus envie de connaître la suite! lol

moi je dis super reci ^^ vivement la suite :p:p

Le pire c'est qu'on connait la fin mais que l'on est quand même pendu à tes messages!!!

Accelere, passe direct aux photos d'Isabelle Mercier sous la douche !

galax a écrit:

Accelere, passe direct aux photos d'Isabelle Mercier sous la douche !

Gaffe, il est capable de publier des photos d'Anthonin Teisseire sous la douche!!!

rhoooooooo allez la suite, pour une fois que je lis tout

Salaud c'est honteux...
J'aime bcp le passage sur la préparation psychologique de ta chère épouse...

ça va devenir un thriller cette aventure

Donc, ma chère et tendre et moi même, nous retrouvons face à l'entrée du Casino.

Pour peu, une voiture de l'organisation nous renverse en nous coupant la route.

A son bord, le Canadien Glen Chorny, dernier vainqueur de l'EPT de Monaco...



Notre pas très malin reporter en herbe (votre narrateur préféré), n'avait pas encore sorti son appareil photo de son sac... (amateur). Je n'ai donc pas pu immortaliser la sortie à l'américaine de Chorny et son équipe, tous vêtus de maillot sportif (leur sponsor je suppose), d'un bermuda large à souhait, et de paires de lunettes supposées supporter le soleil du désert du Sahara...

Bon, on regarde à gauche, à droite, ok... Plus de danger. Nous traversons et entrons (enfin) dans le Casino.

Là, une charmante hôtesse nous accueille au point presse, et nous remet nos laisser-passer.

Premier commentaire de ma secrétaire du jour (ma toujours chère et tendre):
"je comprends mieux maintenant pourquoi tu joues au poker trois ou quatre fois par semaine"... Oups.

Nous commençons à nous promener à l'intérieur des installations qui je dois bien l'avouer étaient magnifiques.

L'organisation, réglée comme du papier à musique nous offrait un superbe spectacle.

Tout de suite, au bout d'un couloir, mon attention est attirée par un attroupement.

Je distingue au loin l'affiche suivante:



Nous nous approchons et là, se trouve effectivement le célèbre Danois Gus HANSEN assis à une table, entrain de dédicacer son bouquin (dont je vous reparlerai très vite).



J'ai eu l'impression d'être un enfant devant Mickey Mouse...

Second commentaire de ma toujours chère et tendre:

"C'est qui ce grand tondu??"

"Je t'expliquerai plus tard, ma chérie".

Gus assis, sympa, prenait le temps de discuter avec chaque personne, de rire avec les uns, de répondre aux questions des autres.

La file était d'une vingtaine de personne et je n'hésitai pas une seconde à me glisser dans celle-ci.

Une chance, ma promptitude fut bien récompensée, car un membre de l'organisation vint nous dire que j'étais le dernier, puis que la séance reprendrait après 19H...

J'assistai donc à ça:







Puis vint mon tour.

Au même moment, nous rejoint Patrick Partouche en personne, qui venait chercher Gus pour une conférence de presse.

Gus le fera patienter car il devait encore s'occuper de moi...



Il me dédicace donc mon livre, et ensuite entame une petite discussion sympa avec moi. D'où je viens, si je compte jouer, etc.

Patrick Partouche attendra 10 minutes...car Gus Hansen discutait avec moi...

Je lui parlai bien entendu de Wallonie Poker et nous en vînmes à parler du championnat de Belgique.

Intéressé, il me fila son adresse e-mail afin que je puisse lui envoyer les détails.



(c'est ma chère et tendre qui a pris la photo -- heureusement elle ne m'a pas caché complètement derrière l'immense statue, dont le bras me couvre presque la tête).

J'espère que la lecture de mon roman photo multi-épisodique vous plait...
Malheureusement, la suite n'arrivera que demain soir...

Je ne veux pas vous faire languir, croyez le bien, mais cela prend du temps, et je veux faire ça le mieux possible...

A suivre.

grrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr

Un rêve éveillé (4)








Ensuite, nous entrâmes dans la salle de tournoi, où régnait une certaine effervescence



Les joueurs prirent place.









mais également







(A suivre).

Un rêve éveillé... (5)

Allez, comme Tupac s'impatiente, que je suis ravi de le voir lire pour une fois autre chose que des BD, et que j'ai encore une bonne demi-heure devant moi... La suite.



La pause clope, je la passerai en compagnie de Thomas Fougeron alias Fougan, de la Team 770.

Un gars super sympathique, je me permets de le souligner. Il semble confiant. A sa table Jan Boubli, ancien vainqueur EPT.
Normalement ça devrait bien se passer, car Jan et lui se connaissent bien, et ils ne devraient pas se tirer dans les pattes.
A ma grande surprise, il connait Wallonie Poker et y passe souvent faire un tour... (mon col de chemise se resserre doucement).
Il me dit que si je souhaite venir faire des photos de lui, qu'il n'y avait aucun souci.

Dès la fin de la pause clope, je m'exécutai avec un très grand plaisir.





Si tu me lis Fougan, un grand merci. Pouvoir discuter avec des pros qui ne se prennent pas la tête est un véritable plaisir.

Cette remarque prend tout son sens avec ce qui suit.

Retournant sur la terrasse, je n'y trouvai plus que Fabrice Soulier.

M'approchant avec mon appareil photo dans l'optique de lui tirer le portrait et d'essayer d'engager la conversation avec lui, il me fera un espèce de signe de rejet, en me gratifiant d'un:

"Non, pas maintenant!!".

Ok... Blurp... Sans doute n'avait-il pas digéré sa sortie de la veille.

Dans ma tête, je me dis: "t'inquiète mon gars, je ne te raterai pas dans mon article"... (chose faite).

Ensuite retour dans la salle, où je me dirige vers la table d'Eric Koscas de la team Winamax.

Pour ceux qui ne le connaissent pas ou très peu, "Moumouth" Eric Koscas, est un joueur Marseillais, pratiquant un poker incompréhensible pour le commun des mortels. Bluffs à outrance, agressivité en toute position, relances et mises hors schéma classique font partie de son style roccambolesque.

Style qualifié par les joueurs d'échecs (je suis l'un d'eux), de "romantique" (tout pour l'attaque).

J'arrive justement au milieu d'un coup dont j'entendrai reparler.

Blinds 50-100 si je ne m'abuse.

Le voisin de droite de Moumouth relance à 300. Moumouth sur-relance dans son style traditionnel à 800. Tous les autres joueurs de la table se couchent, sauf son voisin qui le paie.

Arrive le flop:

Le gars check.
Moumouth attaque le coup à 1500.
Le gars call.

Turn:

Le gars check.
Moummouth attaque à 3500.
Le gars call.

River:

Le gars check.
Moumouth attaque à 7500.
Le gars call.

Moumouth montre pour deux paires.

Le gars montre pour brelan d'as.

C'est nul, où sont les photos des hôtesses ?

Julien , prends ta camera et explique nous le TOUT en UNE fois ...

non j'aime bien moi les petits reportages comme ça, ;-)

oui mais c est inhumain ce qu il fait


la suite pleaseeeeeeeee

Mhmmmmm je sens que marcel va mettre une partie de plus ce soir